A la faveur de la pandémie, les acteurs du disque diversifiés dans le live attirent les artistes, au détriment des producteurs de spectacles, privés de scène. Lorsque viendra le temps d’une reprise normale des concerts, on pourrait compter les morts.
Comme dans de nombreux secteurs, le coronavirus a accéléré des tendances déjà identifiées. Mais rarement avec autant de violence que dans la musique.
Dans ce big-bang, il y a de grands gagnants : les acteurs positionnés sur le streaming comme Believe , qui devrait entrer en Bourse en 2021 avec une valorisation attendue de 2 milliards d’euros. De grands perdants : les pure players du spectacle vivant, paralysés par les confinements, couvre-feux et restrictions de jauge. Et au milieu, mais plutôt en bonne position aussi, des acteurs pratiquant le « 360 », présents à la fois sur la musique enregistrée, le live, l’édition, le merchandising et l’audiovisuel, tel le gros indépendant Wagram Music ou les majors Universal Music, Sony et Warner. Lire la suite >>
Source : Les Echos