Le lieu où la fête clandestine s’est déroulé appartient à SNCF Réseau qui a décidé de porter plainte. Une décision soutenue par le maire du 13e arrondissement de Paris.
PARIS – Au milieu de ce quartier résidentiel du XIIIe arrondissement de Paris, un portail laissé entrouvert. Derrière, dans les entrailles d’une ancienne voie ferrée, une fête immense, illégale et risquée offre à 300 jeunes le mirage d’un monde sans pandémie. Le temps d’une nuit.
L’adresse a été communiquée par mail au dernier moment et les consignes sont strictes: arriver en toute discrétion, seul ou par très petits groupes, entre 20h et 21h, avec son billet réservé. Les 300 sésames pour cette soirée baptisée “I want to break free” se sont vendus 15 euros via une plateforme sur internet. Les places sont parties en quelques heures. Lire la suite >>
Source : HuffPost