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Garocouac : quand Garorock enchaîne les mésaventures

L’innovation du mode de paiement unique et contrôle d’accès par bracelets connectés tant attendue par les festivaliers en ce début d’été ne s’est pas déroulée comme prévu. Vendredi 26 juin, quelques milliers de festivaliers ont formé une file d’attente interminable qui n’avançait pas à cause d’un bug du système. Cette même foule qui accentuait les soucis sur place.

Une innovation partie d’un bon sentiment. Alors que Garorock avait tout mis en place afin de garantir un confort d’un nouveau genre pour ses festivaliers et éviter les foules, l’attente et  les soucis à l’aide d’une simple puce, une incompatibilité du système canadien d’Intellitix avec le modèle français a provoqué une immense déception chez les fans de rock. Après un premier couac au Hellfest avec le même prestataire qui n’avait été cependant là-bas, uniquement chargé du contrôle d’accès.

L’amusement, l’éclate et la bonne humeur étaient attendus, mais ce sont la chaleur, l’excitation et l’exaspération qui étaient au rendez-vous. Des heures d’attente interminables et l’impossibilité de rentrer ont gâché cette initiative révolutionnaire d’échanger sa place contre un bracelet pucé qui servira à la fois de Pass et de porte-monnaie électronique. Le système bugge, les places ne peuvent pas être scannées, les visages se remplissent de tristesse…

Dans l’impossibilité de faire demi-tour, un “Remboursez !” s’élevait en unison parmi les huées. Le phénomène américain Asap Rocky, attendu par beaucoup, n’étaient qu’à quelques mètres, et pourtant, impossible de le voir.

Ce problème technique de quelques heures en début de soirée s’est vu s’arranger par la suite par l’échange des places, sans les scanner contre des bracelets. Mais entre le temps d’attente à présent pour effectuer cet échange, et le SAV dans l’incapacité de rembourser dans la soirée à la suite du bug, les festivaliers ne se sont réjouis qu’à moitié.

Crédit : DR

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